Une autre histoire de reconversion professionnelle réussie: celle de Vanessa Birman

J’ai fait la connaissance de Vanessa Birman sur Linkedin.

Je pense sincèrement que cette rencontre n’était pas le fruit du hasard.

Qu’elle était inscrite quelque part, dans mon inconscience.

Je n’ai pas toujours envie de m’éveiller au monde des réseaux sociaux.

J’ai même plutôt tendance à refuser de les laisser entrer dans mon univers.

Il n’en a jamais été ainsi avec Vanessa.

Ses posts sur Linkedin m’ont toujours convaincue de la nécessité de s’éveiller avec elle, de prendre conscience à ses côtés de la réalité virtuelle.

Combien de contenus me laissent pourtant de marbre !

Je cultive comme un art précieux l’indifférence à cette façon de se montrer sans l’humilité de l’apprentissage.

J’expose parfois cet art : je ne brille pas toujours par mes silences.

Je laisse ainsi  les autres s’affranchir de mes filtres opaques. J’accrois soudain leur degré de transparence.

Un visage transperce alors. Puis ses mots. Et bientôt, c’est un paragraphe tout entier qui émerge.  

Puis un profil.

Ce fut le cas avec Vanessa.

Voici ce que je découvris : du love du love du love !

Et tout de suite une référence s’impose comme une évidence : la chanson  « Soul for real » de Candy Rain

À cause du titre, des premières paroles.

Le titre, « Âme pour de vrai » s’applique magnifiquement à cette femme aux milles visages dont le son ensoleillé de la voix résonne encore à mes oreilles.

Avoir du soleil dans la voix n’est pas l’apanage de tout le monde.

Pour l’interlocuteur c’est une véritable promesse. C’est celle d’un moment de partage.

« Avoir du soleil dans la voix » est d’ailleurs un service d’écoute de personnes engagées pour lutter contre l’isolement des personnes âgées.

C’est aussi le nom d’une association pour tisser du lien social.

Est-ce pour cela que cette expression m’est immédiatement venue à l’esprit la première fois que j’ai pris le téléphone pour contacter Vanessa et que les premiers mots ont commencé à créer un espace personnel déconnecté du monde autour ?

Je ne sais pas.

Certaines personnes ont cette faculté d’abolir les distances. De créer immédiatement la connexion. De nous faire se sentir proche d’elles.

Cette faculté est une aide précieuse dans le marketing tout autant que dans le coaching.

Vanessa allie les deux profils métiers.

Elle a fait le choix d’un type peu banal de coaching, celui que l’on dit « agile », s’appuyant sur son Master 2 « management de la performance et entrepreneuriat » obtenu à l’IFAG.

Actuellement, elle complète son choix de reconversion avec deux formations complémentaires :

  • une certification de Professionnal and Life Coach auprès de l’international NLP
  • un bachelor Chef de projet marketing digital

Elle vous donne toutes les assurances de sa multipotentialité.

Une garantie non négligeable quand il s’agit de lui confier l’accompagnement aux processus de changement de votre entreprise.

De permettre l’adaptation des membres de  votre équipe à un environnement en pleine mutation.

De recréer le lien non seulement entre eux, mais entre eux et vous.

Je crois que dans ce contexte si en mouvance, où tout afflue à un rythme soutenu, nos capacités de schématisation s’effondrent.

Nous n’avons plus la vision globale de notre activité. Nous perdons le sens de son interaction avec une société qui redéfinit ses aspirations.

Recrutement, transition énergétique, transformation digitale, management de l’inclusion, nécessité d’une économie durable…

Le monde évolue dans un bombardement d’outils, d’informations et de requêtes incessantes.

Comment créer le lien indispensable entre les informations ?

Rien d’étonnant alors à ce qu’un métier nouveau comme le coaching agile surgisse, s’impose au milieu de toutes ces volontés d’accompagnement au changement.

La culture agile permet au coach de dépasser le positionnement classiquement adopté. Il peut être un facilitateur dans de nombreux domaines nécessaires à l’entreprise, se concentrer sur l’humain ou l’entité commerciale, publique, etc. Dans cette éventualité, s’impliquer dans ses aspects techniques, de gestion de produits, de nécessité de changement organisationnel, en passant par la formation aux pratiques agiles ; la liste est longue de ses secteurs d’intervention.

Il exercera son activité en s’appuyant sur un apprentissage social et interactif, une mise en relation avec les circonstances, l’environnement, dans la perspective de favoriser la proximité entre les intervenants et interlocuteurs.

Vous l’avez compris, ce métier demande de nombreuses compétences, mais surtout un sens de l’humain.

Voilà pourquoi Vanessa a fait le choix de cette reconversion.

Vous pouvez voir sur son profil Linkedin que le mot FACILITATRICE s’inscrit en lettres majuscules.

Il vous interpelle, vous arracherez presque à votre fauteuil, derrière votre écran.

Et vous êtes pris d’une envie subite d’entrer avec elle dans la transition.

Pourquoi ?

Est-ce que vous songez soudainement que vous n’êtes pas assez « aware ».

Est-ce que l’abeille bourdonnante a déjà effectué sa piqûre de rappel selon son expression consacrée (oui Vanessa aime jouer avec les mots)  avec cette petite phrase : « have you ever dreamed of you » ?

J’ai interrogé Vanessa sur son choix de l’ expression « bee aware » pour forger son image de marque, traduire ses missions, son « Why ».

Je me suis régalée avec sa réponse. Elle aime à faire de nous des êtres éveillés.

Et c’est un fait qu’elle nous arrache à notre torpeur, nous rappelle que nous faisons partie d’un tout, à l’échelle de l’univers comme celui des hommes.

Il y a un mot qui traduit parfaitement cet aspect de sa personnalité.

Ce mot, c’est cosmogonie. Vanessa aime les récits qui s’y rapportent.

Je la soupçonne même de s’immerger avec délices dans les réflexions autour des mythes et des cultures.

Quelque chose que nous devrions tous savoir faire : s’imprégner des croyances anciennes est salvateur dans un monde en chaos. Elle permet de lutter contre ce que Mircéa Eliade appelle la « terreur de l’histoire », et qui se fait particulièrement sentir lorsque l’homme moderne se trouve confronté à des évènements historiques violents et menaçants. Comme en ce moment. Eliade renvoie même aux cultures traditionnelles qui privilégient le temps cyclique, et restent ainsi sereines. La crise de la Covid 19 a fait émerger de nouveaux besoins, des désarrois profonds. Des comportements dépressifs. Deux nouvelles études ont été publiées par la DRESS sur la hausse des syndromes.

L’OMS confirme une augmentation des cas d’anxiété et de dépression de 25 % dans un communiqué du 2 mars 2022.

Plus que jamais, il est nécessaire de savoir « redonner du sens ». Regarder autrement.

Vanessa nous forme à cela : elle nous demande de « passer au-dessus des éléments a priori bloquants en les regardant autrement ». En précisant « Mais bien sûr, il est toujours question de l’histoire que l’on se raconte. »

L’histoire que l’on se raconte…

L’expression n’est pas choisie au hasard.

Vanessa a toujours eu un rapport particulier aux livres. Les mots « éveil, éveillé(e) » qu’elle emploie régulièrement prennent leur source dans son désir de narration. Et dans son enfance.

Petite, elle écrivait déjà.

Elle aimait par-dessus tout le récit qui surgit des  phrases construites sur une feuille de papier vierge de tout ce qui n’était pas lui.

Le récit crée la force, arrime, ancre, plonge profondément dans le passé.

Il abreuve les racines.

Vous avez compris, Vanessa donne du sens aux choses grâce à sa spiritualité.

Nous avons besoin de nous comprendre pour émerger. Nous ne sommes pas distincts de notre moi profond. Et même si nous ne pouvons avoir conscience que de certaines de nos pensées, nous sommes la résultante dans une grande partie de nos actions de notre partie inconsciente.

Nous n’avons pas pour les fonctions vitales comme pour les gestes courants, y compris la lecture, besoin de faire appel à nos pensées conscientes.

Dès lors nous sommes en prise à nos biais cognitifs.

Ceux contre lesquels il convient de lutter quand nous sommes en proie à une démotivation, une perte d’énergie.

Notre mémoire à long terme est encombrée de morceaux de phrases, d’images, d’actions, tout autant que d’informations abstraites.

En cas d’anxiété, nous sommes la proie de pensées intrusives mettant en scène des menaces réelles, ou imaginaires.

Notre perception de la réalité est faussée.

Et les tâches demandant réflexion et attention nécessitent que notre système conscient carbure à pleine puissance.

Pour Vanessa, une entreprise est tout autant indissociable de son environnement que des membres qui la composent.

Ses missions visent donc tant à reconnecter l’humain à certains stades de sa conscience, pour que « cet éveil lui permette de récupérer toutes ses facultés ». En reconnectant les gens à leur créativité, elle les amène à être des trouveurs de solution.

Selon Phylicia Rashad, l’art est la base de l’expression humaine.

Vanessa applique cette préconisation à la lettre. Elle puise dans de nombreux enseignements artistiques, chant, théâtre, danse,  la force à être une perpétuelle créatrice.

L’art, vous comprenez, mais la spiritualité qui transcende certains de ses  posts  sur Linkedin ?

Selon Jean-Marie Shaeffer, l’art est une force de révélation ontologique, une connaissance extatique qui nous « sauve » de l’existence inauthentique et aliénée qui est notre lot quotidien.

Toujours selon lui, il y a « identité d’essence entre art et philosophie ».

Vanessa est une penseuse éveillée, douée pour tant de thématiques !

Mais ce qui l’anime est en également terriblement pragmatique.

Vanessa est particulièrement orientée « produit » et parcours client. Avec une volonté de vous faire bénéficier d’une montée en compétences sur le design thinking et le product management.

Son crédo : « garantir l’optimisation agile des fonctionnalités produits et services répondant aux besoins exprimés et porter la vision de vos applications, sites de e-commerce ou culture d’entreprise. »

En ce sens : « ANALYSER, CO-CREER, SOLUTIONNER! ».

Aujourd’hui, elle met aux services des entreprises et des êtres humains qui la composent sa compréhension des enjeux et des besoins. Sa formidable capacité de vision à 360 degrés, elle l’a expérimentée pendant plus de 10 ans.

Elle est véritablement facilitatrice du changement.

Dans sa recherche constante de progression dans la démarche de qualité du produit et de prestation de conseil, elle effectue des stages en stratégie de contenus, création d’outils digitaux et se mobilise pour participer à des ateliers de types designs sprint.

La contacter sur son profil Linkedin.

Selon Jean-François Houssais, nous disposons de trois types de conscience pour être éclairé.

  • La conscience de niveau 1, qui contrôle et régule les grandes fonctions biologiques inconscientes ; elle assure la pérennité vitale du corps physique.
  • La conscience de niveau 2 : cette conscience est dite réflexive ordinaire, elle permet d’être conscient d’être conscIent  et résulte des capacités cognitives de notre cerveau.  
  • La conscience de niveau 3 : cette conscience est dite réflexive lucide. Elle s’exprime dans certains états liés à l’expérience de mort imminente, au cours de rêves lucides, ou en état de méditation profonde. Elle est l’expression de l’être selon ce médecin et chercheur au CNRS. C’est elle qui nous permet d’atteindre notre humanité complète.

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